LE 1er MAI n’est pas simplement un jour férié.

Il s’agit aussi et surtout d’une journée internationale de lutte des travailleuses et travailleurs pour leurs droits.

C’est pourquoi, en dépit de la crise sanitaire, nous estimons indispensable que le monde du travail (salarié·e·s, chômeur·euse·s, retraité·e·s, précaires…) continue de se saisir de cette journée pour porter haut et fort ses légitimes revendications.

Considérant la politique sociale régressive d’Emmanuel Macron et de sa majorité, les raisons sont multiples et fortes de se rassembler pour promouvoir des alternatives.

C’est vrai pour l’ensemble de la société et particulièrement pour la Fonction publique.

Peu ou pas de créations d’emplois alors que les besoins sont pourtant urgents et vitaux, et même pire des suppressions qui se poursuivent dans trop de secteurs, la remise en cause brutale de conquêtes sociales en matière de temps de travail et la mise en œuvre de restructurations qui mettent en péril l’exercice des missions publiques : le futur projet de Loi 4D qui va entraîner des inégalités sans précédents dans les territoires est le témoin d’un nouveau désengagement de l’État de droit.

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