Afin de combler les besoins de l’État en matière de compétences numériques, le gouvernement met l’accent sur la communication pour faire connaître les missions proposées. Il entend également faciliter les procédures de recrutement de contractuels en portant son référentiel des métiers, en tension, de 15 à 58 métiers. Avec, à la clé, des salaires plus attractifs et des recrutements accélérés.

C’est désormais un “marronnier”. À chaque gouvernement son plan pour attirer et fidéliser les experts du numérique que tous s’arrachent, dans le privé comme dans le public, pour mener à bien la transformation de l’État. La ministre de la Transformation publique, Amélie de Montchalin, a donc présenté le sien, à un an de la présidentielle, et seulement deux ans après le précédent plan d’action mis au point par la direction interministérielle du numérique et la direction générale de l’administration et de la fonction publique pour mieux recruter et conserver les talents du numérique au sein de l’État. Plan qui avait lui-même fait suite à la circulaire Cazeneuve de 2017 sur la gestion des ressources humaines dans le domaine.

Lire l’article d’ Emile Marzolf d’Acteurs publics