Il ne fait pas bon afficher un nom ou un prénom d’origine maghrébine pour être convoqué à un entretien de recrutement, que ce soit dans le secteur public ou dans le privé. C’est, du moins, l’un des enseignements que l’on peut tirer du dernier rapport sur l’état de la fonction publique publié par la direction générale de l’administration et de la fonction publique (DGAFP) qui livre, notamment, les résultats d’une vaste campagne de testing menée dans les secteurs public et privé autour des métiers de cadre administratif et d’aide-soignant.

Lire l’article de Marie MALATERRE d’acteurs publics.