Mais cette montée en compétences se heurte à plusieurs obstacles. Près des trois quarts des agents interrogés par l’Ifop (73 %) pointent le manque de temps ou de priorisation de cet enjeu numérique comme frein principal. Le pourcentage atteint 81 % dans la fonction publique hospitalière et 76 % chez les agents de catégories A et B (60 % chez les catégorie C). Preuve que les esprits progressent, les fonctionnaires sont nettement moins nombreux à affirmer que le manque de support managérial (37 %) et le manque d’intérêt (30 %) sont des freins à la montée en compétence.

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