Pour rappel, ces textes arrêtent des décisions fondamentales pour le devenir de la Sécurité sociale et la prise en charge des risques sociaux. Il s’agit en particulier du transfert de 136 milliards d’euros de dette à la CADES, montant qui mêle conséquences de la crise sanitaire, dette des hôpitaux et d’éventuels déficits à venir dont le chiffrage pose question, le tout mis à la charge des salariés et des retraités qui devront payer 9 années supplémentaires de CSG et de CRDS, prélèvements qui devaient cesser en 2024. Ces textes relancent également le débat sur la prise en charge de la perte d’autonomie.

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