Yves Veyrier (FO) :

Sur les retraites ou l’assurance-chômage, l’état met la main sur ce que nous pilotions pour partie.

Sur les 7 milliards évoqués pour revaloriser les salaires de la santé : « On va voir le volume et comment cela va se répartir. Il y a aussi la nécessité de rendre attractif les métiers de la santé.

On ne va pas dire à ceux qui ont du boulot : ‘Continuez de travailler’ pendant que les jeunes sont sans emploi.

La réforme des retraites, personne n’en veut. Je rappelle le 49.3 au début de la crise sanitaire. Et on remet le dossier en plein été ?

L’état est en devoir d’imposer des conditions qui servent le social avant la compétitivité.

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